Critiques de livres

Chronique | Animal Farm par George Orwell

George Orwell • Paper Mill Press • Classics • 122 pages

Synopsis

“All animals are equal, but some animals are more equal than others.” A farm is taken over by its overworked, mistreated animals. With flaming idealism and stirring slogans, they set out to create a paradise of progress, justice, and equality. Thus the stage is set for one of the most telling satiric fables ever penned—a razor-edged fairy tale for grown-ups that records the evolution from revolution against tyranny to a totalitarianism just as terrible.

When Animal Farm was first published, Stalinist Russia was seen as its target. Today it is devastatingly clear that wherever and whenever freedom is attacked, under whatever banner, the cutting clarity and savage comedy of George Orwell’s masterpiece have a meaning and message still ferociously fresh.

Mon avis

Ma pause de lecture de classique n’est pas vraiment terminé. À part exception, je ne crois pas en lire un autre cette année, mais quand celui-ci a été pigé au hasard dans mon challenge annuel Read that TBR, je me suis dit que vu sa taille, j’étais aussi bien de le lire et que ça serait fait par la suite. Au final, je l’ai lu assez rapidement, mais pas forcément parce que je l’ai trouvé palpitant.

Dans Animal Farm, nous suivons un groupe d’animaux de ferme qui se révoltent suite aux mauvais traitements de leur propriétaire. Par la suite, il est décidé que les animaux régiront le fonctionnement de la ferme et que tous les animaux seraient égaux et qu’il n’y aurait pas d’injustice aucune. Bien rapidement, des opinions contraires sur la direction à prendre pour la ferme apparaissent entre les deux porcs qui essaient d’avoir un semblant de leadership pour finalement que l’un d’entre eux soit chassé de la propriété. Aussitôt, le porc restant se nomme lui-même leader de la ferme et commence à prendre les décisions administratives avec un groupe de porcs et protégé par son groupe de chiens de garde. Les autres animaux de la ferme ayant un peu peur des chiens et n’ayant aucune raison de ne pas avoir confiance en ce nouveau dirigeant, laisse le tout aller. Puis c’est là que les gros changements surviennent.

Juste avec ce court résumé, on peut y voir une certaine ressemblance avec la façon dont certains pays sont dirigés. Mais je vous assure que le tout est encore plus flagrant quand on lit l’œuvre. On peut clairement comprendre que l’auteur y dénonce la dictature et tout ce qu’elle implique, les porcs étant ici la caste dirigeante en s’étant auto-proclamé leader, mais surtout en disant à tous les animaux qu’ils étaient des animaux intelligents et que c’était donc à eux de prendre la tâche ingrate qu’est-ce de diriger la ferme et que ça ne leur fait vraiment pas plaisir de le faire, mais ils se sacrifient pour le bien commun. Disons cependant, que cette phrase revient très souvent pour justifier des petits privilèges que les porcs se votent entre eux, comme des rations plus élevés, des droits qui sont soudainement interdits aux autres animaux, le droit de ne pas travailler sur la ferme mais d’être tout de même les premiers à bénéficier des résultats, etc.

J’ai trouvé que le message passait bien via cette satyre et surtout le récit est assez imagé pour qu’on en comprenne le message. Cela dit, heureusement que le livre était court, car je l’ai trouvé d’un ennui incroyable. Disons qu’entre chaque chapitre, je devais aller lire autre chose pour que je garde mon envie de lire. Je crois que ce livre aurait pu me prendre immensément plus de temps à lire si je n’avais pas procédé de cette façon. Cela dit, je suis tout de même contente d’avoir découvert Animal Farm dans ma longue quête de découverte des classiques.

Bonne lecture,
Kat

Note : 3 sur 5.

3 commentaires sur “Chronique | Animal Farm par George Orwell

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